Le jeûne, un remède oublié

Un jour, je suis tombé par hasard sur une émission à la télévision anglaise qui faisait l’interview d’une juge qui avait un cancer du sein et supportait très mal la chimiothérapie.

Elle racontait qu’elle avait découvert un moyen de ne plus souffrir des effets collateraux de la chimio. Elle faisait des jeûnes. On la voyait à la clinique de Buchinger raconter que lorsqu’elle jeunait, ses cellules se protégeait de l’autophagie. La chimio ne détruisait alors plus ses bonnes cellules mais se contentait d’éliminer les cellules cancéreuses.

Ayant toujours été passionné par les secrets oubliés de la nature et les ressources étonnantes de l’être humain, je me suis dit qu’il fallait que j’essaie. Et je suis allé faire ma première expérience de jeûne. Je n’ai rien mangé pendant 21 jours !

Une fois dépassés les blocages culturels et mes croyances limitantes, à mon grand étonnement, tout s’est finalement très bien passé. C’est même devenu une expérience particulièrement edifiante. J’ai découvert que je pouvais non seulement prendre soin de moi et me renforcer mais également me soigner. Et le tout sans manger, sans médicament et gratuitement.

Pas étonnant que les industries agroalimentaires et pharmacologiques s’arrangent pour que ça ne sache pas.

Depuis, je fais 2 jeûnes de 10 jours par an et je me porte comme une rose au printemps.