QUI EST JAMES DE TRAZ ?

Le départ

Si j’ai appris à rebondir sur les difficultés de l’existence, ce n’est pas tout à fait par hasard.

Mon père abandonne ma mère lorsqu’il apprend qu’elle est enceinte, ma mère est obligée de m’abandonner après naissance, je suis adopté 3 mois plus tard par une femme médecin militaire et son mari, je découvre par accident à l’âge de 12 ans que j’ai été abandonné bébé, mes parents refusent de répondre aux questions que je n’ose pas leur poser, j’hésite entre être le fils secret de James Dean et avoir été trouvé dans une poubelle, et mes parents adoptifs meurent brutalement sous mes yeux alors que je suis encore adolescent, me laissant orphelin pour la deuxième fois et emportant avec eux le mystère de mes origines et ma confiance en l’avenir.

Après ce départ plutôt incertain dans la vie et quelques doutes quant aux promesses de l’existence, je me sens plutôt mal dans ma peau.

Les débuts

Ne sachant ni d’où je viens, ni qui je suis, ni où aller, je commence par sombrer sous le poids d’une fatalité que je ne comprends pas.

Heureusement, grâce à Boris Cyrulnik et à la résilience, je découvre que je peux devenir maitre de ce que je vais faire avec ce qui m’est arrivé. Je décide alors de trouver un moyen de vivre mes rêves au lieu de rêver ma vie.

Mon père m’ayant souvent lu des histoires de héros mythologiques qui vont conquérir trésors et princesses, je prends mon courage à deux mains et je décide de partir à la recherche des réponses que personne ne m’a données. Commence alors un long voyage qui me mènera jusqu’au bout de moi-même.

Au début, je cherche les sensations fortes qui m’aident à me sentir vivant. Commandos à l’armée, pilote d’avion, parachutiste et pilote de rallye automobile avant de percuter un mur à plus de 120 km/h en pleine course. Les côtes brisées, la cage thoracique enfoncée, un poumon éclaté, une hémorragie cérébrale et le décès de mon navigateur m’aident à comprendre que la solution n’est pas dans les performances.

Les débuts

Ne sachant ni d’où je viens, ni qui je suis, ni où aller, je commence par sombrer sous le poids d’une fatalité que je ne comprends pas.

Heureusement, grâce à Boris Cyrulnik et à la résilience, je découvre que je peux devenir maitre de ce que je vais faire avec ce qui m’est arrivé. Je décide alors de trouver un moyen de vivre mes rêves au lieu de rêver ma vie.

Mon père m’ayant souvent lu des histoires de héros mythologiques qui vont conquérir trésors et princesses, je prends mon courage à deux mains et je décide de partir à la recherche des réponses que personne ne m’a données. Commence alors un long voyage qui me mènera jusqu’au bout de moi-même.

Au début, je cherche les sensations fortes qui m’aident à me sentir vivant. Commandos à l’armée, pilote d’avion, parachutiste et pilote de rallye automobile avant de percuter un mur à plus de 120 km/h en pleine course. Les côtes brisées, la cage thoracique enfoncée, un poumon éclaté, une hémorragie cérébrale et le décès de mon navigateur m’aident à comprendre que la solution n’est pas dans les performances.

Des expériences

A ma sortie d’hôpital, davantage attiré par les mystères de la magie que par les bancs de l’université, je pars à la recherche de ces secrets qu’on ne trouve pas dans les livres.

Je vais à la rencontre des mages de candomblé du Brésil, pars vivre avec des chamanes en Amazonie, et étudie avec des guérisseurs de Bali.

Finalement, comme je ne comprends toujours pas quel peut bien être le sens de mon existence, c’est Paolo Coelho qui m’envoie faire le pèlerinage de Compostelle, en plein hivers et sans argent : « Tu trouveras la réponse que tu cherches quand tu verras l’océan » me dit-il. Je me résigne et prend la route. Je traverse les Pyrénées sous un mètre de neige, et après 900 kilomètres, atteins enfin l’océan.

Je comprends alors que je cherche bien loin des réponses que j’ai déjà en moi.

Alors je ralentis, regarde de plus près, et me mets à rencontrer ceux qui savent :
ThichNatHanh me montre comment écouter l’instant présent, un élève de Joseph Campbell m’initie au chemin du héros, le clown Alain Vigneau me montre comment risquer d’être bon à rien pour devenir prêt à tout, je libère et apprivoise l’homme sauvage qui vit en moi lors d’un stage MKP, et maitre Goenka m’apprend comment être bien avec soi n’importe où, n’importe quand et quoi qu’il arrive ;

Mais il me manque toujours quelque chose. Et aucun d’entre eux ne veut me dire ce que c’est.

Et un jour, alors que je me demandais à quoi je pourrais bien servir, Thich Nhat Hanh me répondra : « Si tu as besoin d’aide, commence par aller aider quelqu’un ».

De la pratique

Alors, sans savoir comment je vais bien pouvoir être utile à qui que ce soit, je me mets au service des autres.

Fils d’un père inconnu argentin et orphelin à répétions, je commence par l’Amérique du sud et pars au Pérou aider des orphelins des rues. Je rencontre des enfants cassés par des circonstances qui leur échappent, qui portent tous des noms de stars du cinéma, mais qui ne savent pas l’âge qu’ils ont.

Au début, j’essaie de les sauver. Puis je me rends vite compte que le meilleur moyen de les aider, c’est de les écouter et de leur faire confiance. Ils savent bien mieux que moi ce qui est bon pour eux.

Après 1 an passé à développer avec eux des ressources qui puissent leur servir un jour à conquérir une place dans la société, je me rends compte que je suis au bout d’une chaine qui commence ailleurs, bien plus loin. Une chaine qui commence sur les bancs d’école des pays civilisés qui dirigent le monde et qui sont censés montrer le bon exemple.

Alors je rentre en Europe.

De la pratique

Alors, sans savoir comment je vais bien pouvoir être utile à qui que ce soit, je me mets au service des autres.

Fils d’un père inconnu argentin et orphelin à répétions, je commence par l’Amérique du sud et pars au Pérou aider des orphelins des rues. Je rencontre des enfants cassés par des circonstances qui leur échappent, qui portent tous des noms de stars du cinéma, mais qui ne savent pas l’âge qu’ils ont.

Au début, j’essaie de les sauver. Puis je me rends vite compte que le meilleur moyen de les aider, c’est de les écouter et de leur faire confiance. Ils savent bien mieux que moi ce qui est bon pour eux.

Après 1 an passé à développer avec eux des ressources qui puissent leur servir un jour à conquérir une place dans la société, je me rends compte que je suis au bout d’une chaine qui commence ailleurs, bien plus loin. Une chaine qui commence sur les bancs d’école des pays civilisés qui dirigent le monde et qui sont censés montrer le bon exemple.

Alors je rentre en Europe.

Des formations

Après ces années de pérégrinations, je recommence des études pour pouvoir comprendre et utiliser ce que l’expérience m’a enseigné.

J’étudie les neurosciences pour percer les secrets du fonctionnement de notre cerveau puis, pour apprendre à m’en servir, je décide de modéliser ceux qui ont réussi quelques soient les contextes, les circonstances ou les évènements.
Je veux savoir ce que Federer, Jordan, Usain Bolt, Noah, Steve Job, Bill Gates, Elon Musk, Warren Buffet, Tesla, Branson, Armstrong, Walt Disney, Charlie Chaplin, Picasso, Luther King, Mandela et bien d’autres ont en commun pour réussir malgré tout, et souvent malgré eux. Après avoir découvert les hommes derrière les exploits, j’identifie 4 ressources humaines qu’ils ont tous en commun.

J’applique alors leur exemple dans ma vie et j’apprends à réparer le lien entre rêve et réalité.

Un engagement

Je monte alors un programme de résilience puis, mandaté par l’état, des institutions et des privés, je commence par aller à la rencontre des jeunes dont plus personne ne sait quoi faire. J’ouvre une association pour ados en rupture et les aide à développer des outils pour devenir maitres de leur vie.

Je rencontre ensuite leurs parents, désemparés par trop de messages contradictoires et nous trouvons les moyens d’éviter étiquettes et traitements à leurs enfants. Nous mettons en place cinq piliers fondamentaux pour garantir un cadre rassurant qui permette à chacun de gérer ses émotions avant de se retrouver submergé.

J’ouvre ensuite un cabinet pour aider ces adultes débordés à trouver le temps de se réaliser malgré un monde surchargé. Petit à petit nous développons les ressources essentielles dont nous avons tous besoin pour prendre confiance en nos talents et nous donner une vie qui nous ressemble.

Et aujourd’hui, j’aide les leaders à libérer tout leur potentiel en leur donnant les moyens de transformer la pression qui les limite en une dynamique qui les ressource.

En traversant toutes ces générations, j’avais enfin compris ce qui avait fait de moi qui j’étais devenu. Grâce à ces enfants je m’étais retrouvé, grâce à ces ados je m’étais pardonné, grâce à ces parents je m’étais réconcilié, grâce à ces adultes j’avais enfin trouvé les réponses que l’orphelin que j’étais avait cherchées toute sa vie et grâce à ces leaders j’ai pu donner un sens à mon histoire.

Je ne pouvais que me rendre à l’évidence : il est impossible de réparer le passé, mais nous pouvons nous en servir pour construire un avenir qui nous inspire. C’est alors que les blessures du passé deviennent les fondations du futur.

Un engagement

Je monte alors un programme de résilience puis, mandaté par l’état, des institutions et des privés, je commence par aller à la rencontre des jeunes dont plus personne ne sait quoi faire. J’ouvre une association pour ados en rupture et les aide à développer des outils pour devenir maitres de leur vie.

Je rencontre ensuite leurs parents, désemparés par trop de messages contradictoires et nous trouvons les moyens d’éviter étiquettes et traitements à leurs enfants. Nous mettons en place cinq piliers fondamentaux pour garantir un cadre rassurant qui permette à chacun de gérer ses émotions avant de se retrouver submergé.

J’ouvre ensuite un cabinet pour aider ces adultes débordés à trouver le temps de se réaliser malgré un monde surchargé. Petit à petit nous développons les ressources essentielles dont nous avons tous besoin pour prendre confiance en nos talents et nous donner une vie qui nous ressemble.

Et aujourd’hui, j’aide les leaders à libérer tout leur potentiel en leur donnant les moyens de transformer la pression qui les limite en une dynamique qui les ressource.

En traversant toutes ces générations, j’avais enfin compris ce qui avait fait de moi qui j’étais devenu. Grâce à ces enfants je m’étais retrouvé, grâce à ces ados je m’étais pardonné, grâce à ces parents je m’étais réconcilié, grâce à ces adultes j’avais enfin trouvé les réponses que l’orphelin que j’étais avait cherchées toute sa vie et grâce à ces leaders j’ai pu donner un sens à mon histoire.

Je ne pouvais que me rendre à l’évidence : il est impossible de réparer le passé, mais nous pouvons nous en servir pour construire un avenir qui nous inspire. C’est alors que les blessures du passé deviennent les fondations du futur.

Une mission

Après avoir traversé autant de cultures que de traditions pour trouver les réponses qui me manquaient, après être passé des quartiers rutilants de la Suisse aux barrios d’Amérique latine, après être allé modéliser ceux qui ont su transformer leurs drames en opportunités, et après avoir accompagné toutes les générations vers leurs solutions, je crée la méthode du rebond. Des outils pratiques, simples et efficaces pour aller nous chercher la vie que nous méritons.

Je souhaite aujourd’hui partager avec vous les clés que j’ai ramené de ce beau voyage et mettre à votre disposition la synthèse de mes expériences. C’est ma manière de contribuer au destin d’une humanité qui se cherche et de donner un sens à ma vie.

Et comme me le faisait remarquer mon maitre d’arts martiaux alors que je m’interrogeais sur mes nombreux faux pas : « Celui qui ne s’est jamais trompé, n’a encore rien essayé ».

Et vous ? Pourquoi ne pas bénéficier de ces années de recherches et d’expériences ? Pourquoi ne pas gagner un temps précieux et venir profiter des outils que je propose ?