Si le chasseur guerrier avait pensé aux futurs orphelins de la gazelle qu’il allait égorger, c’est sûr, il n’aurait pas ramener grand chose à manger et ça aurait été purée de groseille pour tout le monde. Comment ils ont du pendant longtemps refouler leur empathie pour bien faire leur job. Et comment pourraient-ils faire aujourd’hui pour laisser un peu plus de place à leur émotions sans perdre leur sangfroid ?